Célèbre industriel français spécialisé dans la restauration rapide, Jacques Borel a été parodié tout au long de son existence. L’humoriste Coluche, mais aussi le chanteur Renaud, se sont notamment moqués de lui dans certaines de leurs créations.
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Jacques Borel était l’un des visages incontournables du monde des affaires en France
Né le 9 avril 1927 à Paris, Jacques Borel était l’un des visages incontournables du monde des affaires en France. Ce dernier a révolutionné les habitudes alimentaires des Français en important le concept de fast-food dans le pays. Il a ainsi créé son premier restaurant en 1957.
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L’industriel était sévèrement critiqué dans les médias
À l’époque, le but de son établissement était de servir « douze clients par minute, soit un toutes les cinq secondes ». Quelques années plus tard, il sera le premier industriel à proposer des hamburgers dans ses restaurants en France. Même si les produits de Jacques Borel remportent un vif succès auprès des consommateurs, l’industriel est sévèrement critiqué dans les médias.
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Jacques Borel a importé le concept de fast-food en France
Inventeur du ticket restaurant, Jacques Borel s’inspire de l’industrie américaine en créant la première centrale d’achat de France. Par la suite, il a ouvert son premier restaurant d’autoroute en 1969. La formule self-service mise en place dans ces établissements d’inspiration italienne est un franc succès auprès des automobilistes.
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Son nom était synonyme de nourriture industrielle de piètre qualité
Malheureusement, l’image de Jacques Borel ne cesse de se dégrader dans les médias. Son nom est désormais synonyme de nourriture industrielle de piètre qualité. Bien évidemment, plusieurs artistes phares de l’époque se sont moqués de l’industriels. Parmi ces derniers, on peut notamment citer Coluche et Renaud.
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Coluche s’est moqué de l’industriel
Par exemple, le personnage Jacques Tricatel dans le film L’aile ou la cuisse, dans lequel joue justement Coluche, est une caricature transparente de Jacques Borel. Dans son sketch Le Belge, Coluche se moque également de lui en détournant « ce plat pays qui est le mien ». Il disait notamment : « On s’est arrêté pour manger chez Jacques Borel. C’est celui qui a fait ce plat pourri qui est le mien ».
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Renaud s’est lui aussi moqué de Jacques Borel dans une chanson
De son côté, Renaud chantait dans L’Autostoppeuse : « On s’est arrêté pour bouffer après Moulins, et Jacques Borel nous a chanté son p’tit refrain. Le plat pourri qui est le sien, j’y ai pas touché, tiens, c’est pas dur. Même le clébard a tout gerbé ! ».
Né le 9 avril 1927 à Paris, Jacques Borel était l’un des visages incontournables du monde des affaires en France. Ce dernier a révolutionné les habitudes alimentaires des Français en important le concept de fast-food dans le pays. Il a ainsi créé son premier restaurant en 1957. À l’époque, le but de son établissement était de servir « douze clients par minute, soit un toutes les cinq secondes ». Quelques années plus tard, il sera le premier industriel à proposer des hamburgers dans ses restaurants en France. Même si les produits de Jacques Borel remportent un vif succès auprès des consommateurs, l’industriel est sévèrement critiqué dans les médias.
Inventeur du ticket restaurant, Jacques Borel s’inspire de l’industrie américaine en créant la première centrale d’achat de France. Par la suite, il a ouvert son premier restaurant d’autoroute en 1969. La formule self-service mise en place dans ces établissements d’inspiration italienne est un franc succès auprès des automobilistes. Malheureusement, l’image de Jacques Borel ne cesse de se dégrader dans les médias. Son nom est désormais synonyme de nourriture industrielle de piètre qualité. Bien évidemment, plusieurs artistes phares de l’époque se sont moqués de l’industriels. Parmi ces derniers, on peut notamment citer Coluche et Renaud.
Jacques Borel : l’industriel caricaturé dans le film L’aile ou la cuisse avec Louis de Funès et Coluche
Par exemple, le personnage Jacques Tricatel dans le film L’aile ou la cuisse, dans lequel joue justement Coluche, est une caricature transparente de Jacques Borel. Dans son sketch Le Belge, Coluche se moque également de lui en détournant « ce plat pays qui est le mien ». Il disait notamment : « On s’est arrêté pour manger chez Jacques Borel. C’est celui qui a fait ce plat pourri qui est le mien ». De son côté, Renaud chantait dans L’Autostoppeuse : « On s’est arrêté pour bouffer après Moulins, et Jacques Borel nous a chanté son p’tit refrain. Le plat pourri qui est le sien, j’y ai pas touché, tiens, c’est pas dur. Même le clébard a tout gerbé ! ».
Source : Closer