Il s’agit d’une reprise humoristique de la chanson « La pêche à la ligne » par Guillaume Ibot. Rebaptisée « La pêche à la mine », sur un texte de Guillaume Ibot, cette parodie fut mise en ligne le 12 janvier 2024 :
Bonne année à tous que cette année 2024 soit remplie de bonnes ondes pour vous et vos proches. J’ai écrit cette petite parodie pendant l’attente du remaniement… Depuis celui-ci a eu lieu, mais ce n’est pas grave… une autre parodie sur le résultat arrivera très vite. J’espère qu’elle vous divertira !
La pêche à la mine
Babeth en perd le nord, Valls ressort son costume
Même si elle est dehors, c’est un poste qui remplume
On la laisse à ses rêves pleins de quarante-neuf trois
Que fera la relève ? Elle n’était Borne qu’à ça
Pour saisir le mirage, ils accourent, ridicules
Les échoués du naufrage, égocentrés, crapules
Macron affute la Gaule pour partir à la pêche
Il cherche le guignol, fusible de sa cabèche
Quand le matin arrive, le lambda cherche l’oseille
Et le glandeur dérive au loin dans son sommeil
Mais dans les hautes sphères où règnent la myopie
Les taupes s’agglomèrent au « qui sera choisi »
Il faudrait les surprendre, dératiser tout ça
C’est vrai c’n’est pas très tendre, mais enfin bon, j’n’aime pas les rats !
Et pendant c’temps Macron, bien au chaud dans sa planque
Brigitte et son jupon nous ruinent le compte en banque
Pour se crémer un peu, les bilans se maquillent
Ils se prennent pour des dieux, ils font d’la merde qui brille
Chaque année c’est l’an pire, mais ils ne le voient pas
La Renaissance attire les égos en ébats
Et ils ne manquent pas d’air, quand ils roulent une galoche
De leurs discours amers, y en a plein les baloches
Si Macron cohabite, déjà qu’c’est le chaos
Y’aura trop plein d’otites pour trop peu d’hôpitaux
De tout ce temps passé, on fait le plein du vide
De tous ces CDD, c’est à chaque fois un bide
Je ne me souvient pas, qui a marqué l’av’nir
Car le marqueur s’en va à force de mentir
Dans n’importe quel parti, il n’y a que des vautours
Ils cherchent juste le velour pour y vautrer leurs vies
Vu qu’il n’y a que des manches, chaque jour qui tapinent
Au Faubourg ça s’déhanche à la pêche à la mine
Vu qu’il n’y a que des manches, chaque jour qui tapinent
Qui f’ra sauter la France à la pêche à la mine ?
Ta-ta-tin !