Les refrains d’abord, les belles paroles ensuite

Le Devoir

Les vendredi 17 mars 1995

PLAISIRS

RENDEZ-VOUS

«Le matin je m’éveille en chantant
Et le soir je me couche en dansant
Entre-temps je fais la sieste
Voilà tout ce qui me reste
Ou je me fais du café On ne se soigne jamais assez»
(Le matin je m’éveille en chantant
— Guy Béart)

JOSEE BLANCHETT

SOURCE: SRC
MONIQUE GIROUX

Appelé: le (514) 596-1652 pour faire une demande spéciale à Monique Giroux. Vous pouvez faire de même chaque lundi et mardi entre 15h et 15h30, tout de suite après l’émission.
Acheté: deux billets pour voir Bécaud à la fin mai au Théâtre Saint-Denis. Ça coûte la peau des fesses, mais ça vaut bien 200 000 volts!
Vu: avec un ex-communiste repentant, le film Tout le monde n’a pas eu la chance d’avoir des parents communistes. Hilarante Balasko. Plus engagée, tu meurs… française. Dé-li-cieux!
Eclaté: de rire à plusieurs reprises en lisant le recueil de textes du chanteur Renaud, intitulé Renaud bille en tête (coll. Point Virgule, Seuil). Encore plus mordant et plus con que ses chansons.
Aimé: Lettres de deux chanteuses exotiques de Pauline Harvey et Danielle Roger (Les herbes rouges). A travers cet échange épistolaire, il est question de solitude et d’amitié féminines, de fins de mois, de chansons et de tango.
Reçu: une carte postale de Bandol, sur la côte d’Azur. Les mimosas sont en fleurs. Qu’on se le chante, c’est le printemps.

Josée Blanchette
est journaliste indépendante.

  

Source : Le Devoir