Première publicité de Renaud, pour Kanterbräu !

En 1986, désireux de diversifier ses expériences professionnelles, Renaud réalise une publicité pour Kanterbräu

Le spot, où il apparaît en compagnie de Jean-Louis Roques, reprend la mélodie de la chanson Germaine. Il regretta ensuite d’avoir ainsi incité à la consommation d’alcool et reversa les 900 000 francs ainsi gagnés au Muséum national d’histoire naturelle, pour participer à la rénovation de la galerie de Zoologie et y organiser le spectacle Fauve qui peut :

« J’évite tout ce qui accélère la vie. Sauf le tabac, là, j’ai du mal. D’où ma grande honte quand j’ai fait ma pub pour Kanterbraü et que le professeur Got m’a reproché de pousser les jeunes à boire, à se tuer au volant et à tuer des gens. Ça m’a foutu une grande claque, parce que je n’y avais pas pensé. Pour me donner bonne conscience, je me disais que je les faisais juste boire de la Kanterbraü plutôt que de la Heineken. J’ai été nul ! Tout ça parce que je voulais tâter d’autres métiers, voir si j’étais capable d’écrire un spot de pub. Si jamais je refais une pub, ce sera contre l’alcool. » (Entretien mené par Alain Remond, Renaud sincèrement, Téléramano 2023, p. 30-34)

La galerie de Zoologie, en état de délabrement depuis de nombreuses années, étaient fermée au public depuis 1965. Après rénovation, ce bâtiment du Jardin des plantes rouvrit ses portes au public en 1994 sous le nom de Grande galerie de l’Évolution, nom qu’il conserve encore actuellement. (Source :  Wikipédia.fr)

Voici donc cette publicité pour la bière Kanterbräu :

N’oubliez pas de vous inscrire à la liste de diffusion pour être au courant des ajouts au site ainsi que des nouveautés concernant Renaud (incluant évidemment les vidéos !). 

Vous avez apprécié ? SVP partagez !
fb-share-icon0
Pin Share0

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.