Nouvelle chanson de Renaud : Interprétation de « Si tu me payes un verre » !

Tel qu’annoncé sur la page officielle Facebook de Renaud le 21 mars 2022 :

« Métèque » le nouvel album de Renaud sortira le 6 mai prochain !

Vous y retrouverez 13 reprises de chansons majeures du répertoire français que l’artiste aurait rêvé d’écrire et composer : Georges Brassens, Jacques Higelin, Georges Moustaki, Bourvil et bien d’autres encore. RDV le 31 mars pour précommander l’album et découvrir le 1er extrait de ce nouvel opus : l’émouvant « Si tu me payes un verre » de Serge Reggiani.

Tel que promis, le premier extrait de cet album à paraître, « Si tu me payes un verre », vient tout juste d’être mis en ligne. Avec le clip officiel (avec la participation de Jean-Paul Rouve) en extra !

 

Pour comparaison, voici la version de Serge Reggiani datant de 1975, suivit des paroles de la chanson :

 

Si tu me payes un verre
Musique : Cris Carol

Paroles : Bernard Dimey

Si tu me payes un verre, je ne te demanderai pas
Où tu vas, d’où tu viens, si tu sors de cabane,
Si ta femme est jolie, ou si tu n’en as pas,
Si tu traînes tout seul, avec un coeur en panne…
Je ne te dirai rien, je te contemplerai;
Nous dirons quelques mots, en prenant nos distances,
Nous viderons nos verres et je repartirai
Avec un peu de toi, pour meubler mon silence…

Si tu me payes un verre, tu pourras, si tu veux,
Me raconter ta vie, en faire une épopée,
En faire un opéra… J’entrerai dans ton jeu,
Je saurai sans effort me mettre à ta portée,
Je réinventerai des sourire de gamin,
J’en ferai des bouquets, j’en ferai des guirlandes,
Je te les offrirai, en te serrant la main,
Il ne te reste plus qu’à passer la commande…

Si tu me payes un verre, que j’aie très soif ou pas,
Je te regarderai comme on regarde un frère,
Un peu comme le Christ, à son dernier repas,
Comme lui, je dirai deux vérités premières:
Il faut savoir s’aimer, malgré la gueule qu’on a,
Et ne jamais juger le bon, ni la canaille,
Si tu me payes un verre, je ne t’en voudrai pas
De n’être rien du tout… Je ne suis rien qui vaille…

Si tu me payes un verre, on ira jusqu’au bout,
Tu seras mon ami, au moins quelques secondes,
Nous referons le monde, oscillants, mais debout,
Heureux de découvrir que, si la terre est ronde,
On est aussi ronds qu’elle, et qu’on s’en porte bien,
Tu cherchais dans la foule une voix qui réponde,
Alors, paye ton verre, et je t’aimerai bien,
Nous serons les cocus les plus heureux du monde…

  
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