Audios, photos, textos, vidéos… Renaud !
Avant que la « Patrouille de contrôle » de YouTube le retire…
D’ici là, vous pouvez visionner ce film mettant en vedette (entre autres!) Gérard Depardieu, Harvey Keitel, Johnny Hallyday, Renaud, et Richard Bohringer :
(Désolé, la vidéo a été retirée de YouTube…)
Pour vous procurer le film, c’est par ici !
« Avec Renaud, on n’est pas des amis au quotidien, mais quand on se voit c’est très profond »
Il n’y a pas que Romane Serda qui se fait poser des questions sur Renaud… Tel que rapporté dans Gala :
« J’adore Renaud, c’est quelqu’un que j’ai dans le coeur. On est pas des amis au quotidien, mais quand on se voit c’est très profond, quand on s’appelle c’est une heure et demi. Quand il va mal j’ai toujours un peu la honte de l’appeler puis après quand je le fais je suis contente. Un artiste et déjà très vulnérable et fort en même temps. Il faudrait que la médecine trouve une solution car on peut pas juste se dire qu’on a arrêté l’alcool, il faut à un moment qu’on donne une aide, qu’on les suive plus, qu’on leur donne des suppléments naturels. Car ce n’est pas qu’une question de volonté, Renaud, il ne manque pas de volonté, et ça me fait de la peine , ça me fâche.
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De bonnes nouvelles de Renaud, selon Dernière Heure (DH) :
Le chanteur énervant, comme il se surnomme lui-même fréquemment, a refait surface vendredi. Renaud a posté une photo de lui sur Facebook. On le voit présenter le nouvel album de sa compagne Romane Serda, sorti hier. Sur le cliché, le chanteur n’apparaît pas moins en forme que pendant sa tournée, de quoi couper l’herbe sous le pied de ceux qui le disaient très mal en point il y a quelques semaines et hospitalisé.
De même, selon Purepeople,
Moins d’un mois après avoir volontairement intégré une maison de repos pour soigner sa dépendance à la bière, Renaud est rentré chez lui. Reposé, en forme et barbu, l’interprète de Mistral gagnant a choisi de prendre la pose avec l’oeuvre de la mère de son fils Malone (11 ans), exhortant ses fans à écouter la nouvelle musique de la chanteuse de 47 ans. « L’album de Romane Serda sort aujourd’hui ! Allez l’écouter, il est super !« , a-t-il écrit.
La réapparition du chanteur n’a pas manqué d’enthousiasmer ses abonnés, tous soulagés de le revoir en bonne santé. « Ça fait un bien fou de voir Renaud en pleine forme« , « Quelle bonne mine ! Ça fait plaisir. Porte-toi bien mon poète préféré« , « Ravie de voir une photo récente… J’adore ta barbe… Et bravo à la maman de ton fils pour son album« , lit-on notamment.
Aujourd’hui, l’artiste repart du bon pied, entouré des siens.
Sur sa page Facebook officielle :
Tel que rapporté par Télé Star ici et ici,
Aline la championne en titre de N’oubliez pas les paroles, 14e plus grande maestro du jeu animé sur France 2 par Nagui, a été éliminée le 6 mars 2018… sur une flagrante erreur d’arbitrage !
Aline Impieri, la candidate de N’oubliez pas les paroles, 14e plus grande Maestro du jeu animé par Nagui sur France 2, a perdu lors de l’émission diffusée le 6 mars 2018. C’est Mylène, une orthophoniste, qui a détrôné la championne sur l’épreuve de la même chanson. Durant cette phase de jeu, les deux concurrents doivent interpréter un titre identique en essayant de le chanter le plus longtemps possible sans faire la moindre erreur de paroles. Il s’agissait, ce soir-là, du duo Renaud–Axelle Red sur la chanson Manhattan Kaboul. Aline, confrontée à la grande avance de Mylène, devait donc chanter, après sa concurrente, le plus grand nombre possible de paroles du titre en question. Elle a trébuché sur un micro bout de phrase et perdu son micro d’argent à seulement cinq point près… Sauf que non !
Durant l’émission du 6 mars, Cruella, l’arbitre en voix-off de N’oubliez pas les paroles a en effet commis une flagrante erreur d’arbitrage repérée par des lecteurs de telestar.fr ! Et au pire moment de l’émission puisque seule une frange de quelques mots séparait les deux candidates !
Lors de l’épreuve de la Même Chanson, Aline s’est heurtée au titre d’Axelle Red et Renaud Manhattan-Kaboul. En chantant « Ils t’imposaient l’Islam des tyrans » à la place d’‘ »Ils t’imposaient l’islam les tyrans », la grande championne a été éliminée. Mais en réalité, Aline avait raison ! Plusieurs téléspectateurs ont prouvé sur les réseaux sociaux que les paroles indiquées sur la pochette du titre étaient bien celles chantées par la championne injustement éjectée.
La production de N’oubliez pas les paroles, via un tweet, reconnait finalement l’erreur. « Nous nous sommes toujours basés sur les textes que nous fournissent les éditeurs. […] Dans ce cas très précis, l’enregistrement original et le livret de l’album diffèrent du texte de l’éditeur et [il y a] une coquille dans ce dernier. » et annonce que « Cruella, rouge de honte, a présenté ses excuses à Aline. Elle lui a proposé de revenir et dès que son agenda le lui permettre, elle sera de retour dans l’émission !«
Meilleure chance pour la suite de la compétition !
Par la chanteuse Anaïs Croze, tel que rapporté dans le magazine La Provence :
Comment vous sentez-vous dans ce monde actuel ?
Anaïs : Je suis une rebelle, ça risque pas de changer. Dans le précédent album HellNo Kitty, j’avais déjà pas mal abordé des sujets comme l’écologie, les rapports humains notamment avec la chanson DRH… La bien-pensance m’insupporte. Au début, j’ai pu passer la barrière des radios parce que j’avais du succès sur scène et pourtant Mon coeur mon amour était une chanson bourrée de gros mots ! Après tout s’est refermé. Quand j’ai sorti DRH, toutes les radios m’ont dit « Elle est super cette chanson » sans pour autant la programmer.
Ce qui m’amuse, c’est tacler. Si on ne tacle plus avec les chansons, qu’est-ce qu’on fait ? Et je suis à nouveau confronté au même problème : avec le premier extrait du dernier album J‘ai retrouvé mon mojo, j’ai reçu là encore un très bon accueil mais pas de passage radio. J’ai voulu montrer dans cette chanson que les teufs entre filles peuvent être aussi crues qu’entre garçons. Je pense que les chansons de Renaud sur les HLM ou de Balavoine sur le divorce ne seraient désormais plus possibles à sortir.
La France est un peu peureuse. On n’est pas un pays précurseur. On suit toujours les modes. Et ça ne risque pas de changer.
Tel que rapporté par Romane Serda dans le Télé Star d’aujourd’hui :
Pourquoi Renaud n’a-t-il pas écrit pour cet album?
Il a écrit une chanson pour le prochain. Il écrit aussi son prochain disque.
Pour en savoir davantage :
Romane Serda – « Reraud va bien » (Télé Star n° 2162, 5 mars 2018)
Les audios, photos et vidéos de 1952-1955 sont maintenant disponibles. Je crois que vous y trouverez quelques surprises, même les plus grands fans de Renaud !
Si vous en connaissez davantage concernant les années 1952 à 1955, n’hésitez pas à nous contacter. Il nous fera plaisir de les ajouter au site !
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Petit clin d’œil à la chanson de Renaud dans un article du journal Le Monde, à propos d’une mobylette allant très, très vite…
Nous avons tous rêvé, adolescents, de pousser notre Mobylette à 200 km/h. Claude Boissel y est arrivé. Il ne se souvient plus de la première fois. La dernière, c’était il y a une semaine sur l’aérodrome d’Aubigny-sur-Nère (Cher), à deux pas de chez lui. Cette piste rurale de un kilomètre de long sert de base d’entraînement à Célérité, un dragster démoniaque de sa conception, associant le châssis d’un cyclomoteur (de marque MBK, anciennement Motobécane) et le moteur d’un avion de chasse (le Fouga Magister). L’indicateur de vitesse, ce jour-là, est monté à 199 km/h. Une broutille, toutefois, à côté de son record personnel de 375 km/h, réalisé avec la même machine, en 2008, au Drag Power Show de Chambley (Meurthe-et-Moselle).
Faute de concurrents, le pilote ne participe à aucune course, se contentant de démonstrations sur des salons de sports mécaniques. Cela suffit à son besoin d’adrénaline : « Se sentir propulsé par un engin à réaction et non par un moteur à transmission procure une sensation inégalable. Le faire sur un châssis de Mob est encore plus jouissif. » Sans compter le plaisir du barouf déversé dans les oreilles. Plaisir indémodable, s’il en est : « Quand j’me balade en Mobylette/On dirait L’Equipée sauvage/Quinze décibels c’est la tempête/Dans tout le voisinage », chantait Renaud en 1977.
Voici donc cette chanson de Renaud !
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Envie d’avoir peur ? Dans France Dimanche :
Renaud : La cure de la dernière chance !
Tout de même, passé le sensationnalisme, il y a quelques bonnes réflexions sur la dernière tournée (à noter que Renaud a offert 120 concerts pour le Phénix Tour, et non 140…) :
Le 17 septembre dernier, à la fête de l’Humanité à La Courneuve, il achevait son Phénix Tour, une vaste tournée de 140 dates à travers la France. L’occasion de prouver à tous ceux qui en doutaient que, tel l’oiseau mythique, Renaud était à nouveau sorti de ses cendres.
Comment dans cette ambiance de trac, d’euphorie et de fête qu’est la scène le chanteur a-t-il pu résister à la tentation de renouer avec ses vieux démons ? Sans doute grâce à son cher public qu’il était si heureux de revoir. Comme le confiait son frère jumeau, David, à France Dimanche, ces retrouvailles avaient été pour lui « une résurrection, un truc inimaginable ».
Porté durant tous ces mois par ces rendez-vous avec ses fans et aidé par sa troupe, Renaud avait, semble-t-il, enfin tordu le cou à son addiction. Terminés pastis et autres alcools forts avec lesquels il se mettait en pièces. À peine s’autorisait-il quelques bières pour le plaisir…
Blues
Hélas le plaisir, quand on souffre d’alcoolisme, devient vite dépendance. Et la moindre contrariété, un prétexte à boire. De retour dans sa maison de L’Isle-sur-la-Sorgue, le chanteur, épuisé, victime du blues de la fin de tournée, a craqué. Le 5 décembre, la disparition de son ami Johnny était la peine de trop, une nouvelle occasion de noyer son chagrin.
« Mon frère a été anéanti, confiait encore David. Comme il n’est pas dans une forme olympique, il a peut-être même pensé : “Le prochain, c’est moi”, réalisant qu’il n’est pas immortel. »
Mais, et c’est la bonne nouvelle, conscient qu’il ne parviendrait pas à se sortir tout seul de cette spirale infernale, l’interprète de Toujours debout, a trouvé le cran d’appeler à l’aide.
À sa demande, en effet, il a tout récemment été admis dans une maison de repos située en région parisienne. Comme l’a expliqué son jumeau : « Il a besoin de se réparer, il apprend à se passer de ce breuvage assassin qu’est la bière. » Au terme de ce séjour, qui devrait durer une dizaine de jours, l’artiste de 65 ans, qui a de nombreux projets sur le feu, espère être rapidement en mesure d’enregistrer de nouveau.
