Spécial Renaud pour le Numéro 21 de la revue « Hexagone » !

Pour son numéro trimestriel d’octobre, novembre et décembre 2021, la revue Hexagone propose un « Spécial Renaud » avec plus de 100 pages lui étant consacrées ! Tel qu’annoncé sur la page Facebook de la revue :

Il fallait bien que cela arrive un jour ! Quand même ! Alors, quand la fort belle « Putain d’expo ! » a rouvert au printemps dernier, après des mois de mise sous cloche pour raisons sanitaires, nous nous sommes dit que c’était le moment de rappeler qui c’est le grand bonhomme de la chanson, sur le podium, à côté de Tonton Georges !

Styliste incroyable, figure populaire, marqueur d’une génération (voire un peu plus…), c’est peu dire que Renaud a innervé, jusqu’à nous pousser à créer cette revue dédiée à la chanson ! Il ne l’a pas volé son blase de « chanteur innervant » ! Paris valait bien une messe pour Henri IV, Renaud vaut bien un numéro spécial pour Hexagone ! Un gros numéro de 220 pages dont la moitié sont consacrées exclusivement au gavroche de la Porte d’Orléans.

Écrit juste avec nos petits doigts, illustré par les dessins du talentueux Piérick / Dessinateur et par les photos de David Séchan fournies généreusement par l’auteur.

Avec cette photo de Renaud en couverture d’Hexagone, c’est tout à la fois retrouver nos adolescences rieuses et la naissance d’une passion pour le beau verbe, une passion qui se traduit aujourd’hui dans les pages de cette revue dédiée à la chanson d’expression française. Alors, pour tout ça, merci Renaud !

Bonne lecture, bel automne,

En effet, un « Spécial Renaud » semblait être une évidence pour cette revue consacrée à la chanson d’expression française !

 

Tel que mentionné par David Desreumaux dans son édito « Tatatssin ! » :

Dis-moi cher lecteur, tu ne l’attendais pas un peu, depuis plus de cinq ans, ce numéro ? Derrière mon clavier je t’imagine, chaque trimestre vitupérant devant ta boîte aux lettres : « Ah bah, encore raté ! C’est quand qu’ils vont nous le pondre ce putain de numéro sur Renaud, bordel de bordel ? Bordel ! »

Eh bien rassérène-toi cher lecteur : c’est maintenant, et on n’a pas fait semblant. Nous y sommes carrément allés de notre « numéro spécial », comme ils disent dans les grandes rédactions. Deux cent vingt pages, ça claque, non ? Dont la moitié consacrées au chanteur énervant. Et encore, on a l’impression de ne pas avoir écrit la moitié de ce qu’on voulait écrire. De ne pas avoir rencontré le centième des personnes que l’on aurait souhaité. 

Si dans ces pages notre admiration pour cet éternel enfant est sans cesse sous-jacente (note l’allitération !), nous vous convions surtout à  relire le parcours de cet artiste hors du commun. De ce mecton pas bidon qui, à l’instar d’un Georges Brassens, a usé de l’humour en contrebande. De ce rejeton de la porte d’Orléans qui, à la force de ses chansons, deviendra une des grandes populaires de notre époque. Pour tout programme, ce sont ses années flamboyantes que nous vous donnons à explorer.

La parution d’Hexagone est trimestrielle. Le format de la revue, passé au format papier en 2016, est épais (de l’ordre de 200 pages). La maquette est soignée et laisse une place importante à la photographie. Hexagone reçue en 2017 le Prix Jacques Douai, créé en 2007 par Jacques Bertin en récompense d’un artiste, d’une structure ou d’une personnalité qui participe à la visibilité de la chanson francophone. Ce prix est soutenu par la SACEM et l’ADAMI.

Ce « Spécial Renaud » inclut des interviews avec, entre autres, les commissaires de la « Putain d’expo ! », David Séchan et Johanna Copans, ainsi qu’avec le scénographe de cette exposition, Gérard Lo Monaco. Il inclut également plusieurs articles revisitant l’œuvre de Renaud et son parcours :

La revue est ponctuée de magnifiques dessins et photos, dont en voici quelques exemples :

Vous pourrez vous procurer ce numéro « Spécial Renaud » de 220 pages en cliquant ici . N’hésitez pas, vous ne le regretterez pas !
  

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Réouverture de la « Putain d’expo ! »

En effet, alors que l’exposition en hommage à Renaud au Musée de la Musique de la Philharmonie de Paris devait originalement se tenir du 16 octobre 2020 au 2 mai 2021, celle-ci fut temporairement fermée le 30 octobre 2020 en raison du second confinement .

Mais bonne nouvelle ! La Philharmonie de Paris a annoncé la réouverture de l’exposition le 20 mai 2021 ainsi que sa prolongation jusqu’au 7 novembre 2021 :

Une silhouette aux jambes arquées, un foulard rouge, une blondeur timide que vient contredire la puissance des mots, portés par un timbre reconnaissable entre tous : celui qu’on a surnommé « la chetron sauvage » ou encore « le chanteur énervant », colporteur d’enfance et d’humanité grâce à la tendresse acidulée de son Mistral gagnant, reste aujourd’hui l’un des chanteurs français les plus populaires. Son œuvre, entrée au patrimoine de la chanson, s’ancre dans les remous de son siècle et détient aussi une force intemporelle.

Le public est invité à venir avec son smartphone et ses écouteurs pour accéder tout au long du parcours aux contenus multimédias de l’exposition, via une web appli.

Vous pourrez lire le dossier de presse de l’exposition en cliquant ici. Les commissaires de la « Putain d’expo ! » sont David Séchan (frère jumeau de Renaud, directeur de la société d’édition musicale Encore Merci et vice-président de la Sacem) et Johanna Copans (auteure d’une thèse sur Renaud : Le Paysage des chansons de Renaud : une dynamique identitaire). La veille de l’ouverture de la « Putain d’expo ! » en octobre 2020, la Philharmonie de Paris avait partagé une vidéo illustrant le parcours et la scénographie de l’exposition, ainsi que des extraits d’interview avec David Séchan, Johanna Copans et Gérard Lo Monaco (scénographe de l’exposition) :

La « Putain d’expo ! » raconte l’univers de Renaud à travers un paysage visuel autant que musical. Le livre officiel de la « Putain d’expo ! », « Renaud : putain de livre ! », est paru le 8 octobre 2020 :

« Renaud : putain de livre ! » est, tout comme l’exposition, composé de quatre sections qui sont autant de facettes du chanteur :

    • Renaud le révolté,
    • Renaud le poète-portraitiste,
    • Renaud l’engagé, et
    • Renaud l’amoureux de l’enfance.

Voici une vidéo d’Emilie Mazoyer discutant de « Renaud : putain de livre ! », de la « Putain d’expo ! » ainsi que de l’album « The Totale of La bande à Renaud » dans l’émission « L’info du vrai » sur CANAL+ le 14 octobre 2020 :

  

Vous pourrez visionner plusieurs autre vidéos et lire de nombreux articles sur la « Putain d’expo ! » en cliquant sur ce lien. Enfin, vous pourrez réserver vos billets en cliquant ici. Bonne visite !

  
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À découvrir : Renaud – L’Antisèche !

En attendant le réouverture de la « Putain d’expo ! », présentement prévue pour le 1er avril 2021, les fans de Renaud peuvent profiter d’une application gratuite offerte par la Cité de la musique – Philharmonie de Paris :

Cette application pour adolescents et adultes contient :

    • Des photos peu connues de Renaud

    • Huit quiz testant vos connaissances sur Renaud, un quiz « C’est Byzance ! » ainsi qu’un générateur d’insultes !

    • Un test de personnalité « Quel personnage de Renaud es-tu ? » 

    • Quatre playlists de chansons de Renaud pour (re)découvrir son répertoire

L’application peut être téléchargée gratuitement par simple recherche des mots « Renaud – L’Antisèche ! » sur votre iPad, iPhone ou appareil avec système d’exploitation mobile Android, ou bien en vous rendant à l’une des adresses suivantes :

En espérant le réouverture prochaine de la « Putain d’expo ! », nous vous souhaitons beaucoup de plaisirs avec « Renaud – L’Antisèche » !

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Vidéo la plus regardée en octobre 2020

La Philharmonie de Paris a malheureusement annoncé que 

LES VISITES DU 30 OCTOBRE AU 29 NOVEMBRE SONT ANNULÉES.

Par contre, Johanna Copans, co-commissaire de l’exposition, a tout de même laissé une message positif sur Facebook :

Très émue en ce jour de fermeture de l’exposition. Nous avons tellement travaillé et les gens s’enthousiasment pour Renaud. Vivement la réouverture et la prolongation pour tous ceux qui ne l’ont pas vue. Prenez soin de vous ❤

Ce n’est donc qu’une question de temps !

La « Putain d’expo ! » est prête à vous accueillir !

Tel qu’annoncé en juillet dernier, Renaud fait présentement l’objet d’une exposition au Musée de la Musique de la Philharmonie de Paris (du 16 octobre 2020 au 2 mai 2021) :

RTL mentionnait récemment :

Le frère jumeau de Renaud, David Séchan qui a eu l’idée de cette Renaud, Putain d’Expo !,  qui nous fait découvrir le destin de cet enfant dont la famille était convaincue dès son plus jeune âge qu’il serait artiste. Renaud ne sera pas écrivain comme son père, il sera chanteur. Mais attention, pas n’importe quel chanteur : Sur sa première carte de visite exposé au musée de la musique, il écrit « Renaud chanteur énervant ».

La putain d’expo de Renaud fera plaisir à tous les groupies du chanteur qui verront sa première moto, sa première guitare, son premier accordéon, son blouson en cuir clouté « Lolita », tout comme les maquettes des décors magnifiques de ses spectacles, imaginés par Gérard lo Monaco comme la pochette du disque La belle de mai.

Le journal 20 Minutes publia également le 15 octobre un article sur cette exposition, dont voici quelques extraits :

L’exposition Putain d’expo ! se poursuit au Musée de la musique (Paris 19e) jusqu’au 2 mai 2021. De nombreux dessins, manuscrits et objets personnels du chanteur, sont exposés tout au long du parcours qui suit une logique thématique plutôt que chronologique. Cette rétrospective met en avant le talent du chanteur pour chroniquer la société française ainsi que ses engagements multiples.

L’exposition se referme sur des notes consensuelles. bouclant la boucle par un retour vers l’enfance, « paradis perdu » de Renaud qui chante « J’ai eu dix ans, je n’les ai plus et je n’en reviens pas. » Aux côtés d’imageries de fêtes foraines, on le découvre tintinophile. Alors que sa musique résonne à nos oreilles : les carambars d’antan, les coco boers et les vrais roudoudous qui coupaient les lèvres et niquaient les dents. La nostalgique Mistral Gagnantélue « meilleure chanson française de tous les temps » et son émotion fédératrice, a de quoi mettre tout le monde d’accord et même le pouvoir de ramener les détracteurs à la bienveillance. 

Monique Younès d’RTL a visitée l’exposition en avant-première et a offert son compte-rendu dans l’émission « Laissez-vous tenter » du 13 octobre 2020 :

 

La veille de l’ouverture de la « Putain d’expo ! », la Philharmonie de Paris a partagé une vidéo illustrant le parcours et la scénographie de l’exposition, ainsi que des extraits d’interview avec David Séchan, Johanna Copans et Gérard Lo Monaco :

 

Vous pourrez réserver vos billets en cliquant ici. Bonne visite !

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« Renaud : putain de livre ! » par Johanna Copans et David Séchan

Il s’agit du livre officiel de la « Putain d’expo ! » consacrée à Renaud au Musée de la Musique de la Philharmonie de Paris du 16 octobre 2020 au 2 mai 2021. « Renaud : putain de livre ! » est paru le 8 octobre dernier et est publié par la maison d’édition Plon :

La « Putain d’expo ! » raconte l’univers de Renaud à travers un paysage visuel autant que musical. « Renaud : putain de livre ! » est, tout comme l’exposition, composé de quatre sections qui sont autant de facettes du chanteur :

    • Renaud le révolté,
    • Renaud le poète-portraitiste,
    • Renaud l’engagé, et
    • Renaud l’amoureux de l’enfance.

Riche de plus de 200 iconographies, le livre comporte de nombreuses archives personnelles inédites, manuscrits, dessins et documents rares et photographies. L’ouvrage est préfacé par les deux commissaires de l’exposition : David Séchan, frère jumeau de Renaud, et Johanna Copans, spécialiste de l’artiste et autrice d’un ouvrage sur ses chansons.

Chaque chapitre est accompagné d’un texte signé des proches et meilleurs connaisseurs de Renaud : Jack Lang, Bertrand de Labbey (son agent historique), François Bernheim (« découvreur » de l’artiste), Alain Rey, Riss (de Charlie Hebdo), Jean-Pierre Bucolo (son compositeur historique), Titouan Lamazou, Daniel Colling (directeur du Zénith de Paris, Printemps de Bourges, etc.), Helena Van Den Nest (fan belge de la première heure, créatrice du premier vrai et grand site dédié à Renaud, « Le HLM des fans de Renaud »), Didier Varrod (journaliste, auteur, proche de Renaud) et Jean-Noël Tronc (directeur général de la Sacem, grand admirateur de l’artiste).

Voici une vidéo d’Emilie Mazoyer discutant de « Renaud : putain de livre ! » (ainsi que de la « Putain d’expo ! » et de l’album « The Totale of La bande à Renaud ») dans l’émission « L’info du vrai » sur CANAL+ le 14 octobre 2020 :

 

De plus, le magazine en ligne de la Cité de la musique-Philharmonie de Paris publia le 7 octobre 2020 une section du livre écrite par Johanna Copans ayant comme sujet « La banlieue de Renaud : voyage au bout de la zone ». En voici quelques extraits : 

Au fil de ses albums, Renaud esquisse le paysage d’une banlieue grise et poétique. Toute une galerie de personnages s’y croisent et dialoguent avec l’imaginaire de la ville périphérique.

Dès la fin des années 1970 , Renaud invente «  son  » paysage, une « zone », qui trouve ses lettres de noblesse dans ses chansons. On sait à quel point la banlieue occupera une place importante dans son répertoire, et aussi comment le chanteur mettra en scène mieux que quiconque la ville, son béton, jusqu’à transformer sa création. Soucieux de ne pas se soumettre au malentendu qui l’assimile à un fils de bourgeois portant le blouson de cuir noir, Renaud a su démystifier son personnage de «  loubard  » dans « Peau aime », et il met à l’honneur dans de nombreux albums ce lieu mis au ban, la banlieue. Le paysage urbain périphérique, chez lui, décrypte avec humour les antithèses sociales. On trouve alors dans les chansons des marginaux. Ce sont même, dans cet univers triste et déprécié, marqué par la grisaille, le béton, le bitume, les personnages privilégiés, et sans doute les plus sensibles, de l’univers de Renaud ; ceux qui nous touchent et que l’on reconnaît. Le héros des « Charognards » a vécu à Sarcelles, « crève aux Champs-Élysées », tandis que celui d’«  Adieu minette  » rappelle que la désolation de La Courneuve s’opposera toujours à Neuilly : « À La Courneuve, y a pas d’écoles / Y a qu’des prisons et du béton ».

À part la délinquance ou la mort, quelle issue possible ? Les bâtiments des grands ensembles ressemblent à des prisons, décrépits, ils sont pareils à des ghettos physiques dont il devient presque impossible de s’enfuir. C’est pourquoi l’irruption du camp familial des Gitans au pied des HLM peut ressembler à une bouffée d’oxygène dans « Salut manouche  ». Le personnage du Gitan répare l’espace, parce qu’il installe des repères : «  Dès qu’j’ai quinze ans, j’trouve un boulot / Et j’fais comme toi […] / Je laisse les cons dans leur clapier / Et puis j’me barre ». De la même manière, les échappées belles dans « La Tire à Dédé » nous font oublier, le temps d’une chanson, la mort de la banlieue, dans une fugue encore plus poétique que nostalgique. Sinon, on a envie de crever, comme l’Angelo de Pantin dans « Baston », qui a « les poings serrés au fond des poches de son blouson ». La grisaille du lieu définit les identités, et Renaud construit d’extraordinaires portraits sociaux. Dans « Deuxième génération », en 1983 , l’habitant de la zone n’est plus un blouson noir, mais un fils d’immigré kabyle. Pour Slimane, adolescent de quinze ans, déchiré entre un pays où il vit et celui qu’il n’a jamais connu, la marginalisation s’est muée en exclusion. Le keffieh palestinien porte joliment les couleurs de la zone, le malaise et la révolte. L’enfermement est permanent, dans les parkings, les caves, la chambre. Alors monte le désir de mort sur une mélodie étonnamment douce :

J’ai rien à gagner, rien à perdre
Même pas la vie
J’aime que la mort dans cette vie d’merde
J’aime c’qu’est cassé, J’aime c’qu’est détruit
J’aime surtout tout c’qui vous fait peur
La douleur et la nuit

Et enfin, voici quatre articles forts élogieux sur ce livre :

Pour en découvrir davantage, c’est par ici !

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La « Putain d’expo ! » est prête à vous accueillir !

Tel qu’annoncé en juillet dernier, Renaud fait présentement l’objet d’une exposition au Musée de la Musique de la Philharmonie de Paris (du 16 octobre 2020 au 2 mai 2021) :

RTL mentionnait récemment :

Le frère jumeau de Renaud, David Séchan qui a eu l’idée de cette Renaud, Putain d’Expo !,  qui nous fait découvrir le destin de cet enfant dont la famille était convaincue dès son plus jeune âge qu’il serait artiste. Renaud ne sera pas écrivain comme son père, il sera chanteur. Mais attention, pas n’importe quel chanteur : Sur sa première carte de visite exposé au musée de la musique, il écrit « Renaud chanteur énervant ».

La putain d’expo de Renaud fera plaisir à tous les groupies du chanteur qui verront sa première moto, sa première guitare, son premier accordéon, son blouson en cuir clouté « Lolita », tout comme les maquettes des décors magnifiques de ses spectacles, imaginés par Gérard lo Monaco comme la pochette du disque La belle de mai.

Le journal 20 Minutes publia également le 15 octobre un article sur cette exposition, dont voici quelques extraits :

L’exposition Putain d’expo ! se poursuit au Musée de la musique (Paris 19e) jusqu’au 2 mai 2021. De nombreux dessins, manuscrits et objets personnels du chanteur, sont exposés tout au long du parcours qui suit une logique thématique plutôt que chronologique. Cette rétrospective met en avant le talent du chanteur pour chroniquer la société française ainsi que ses engagements multiples.

L’exposition se referme sur des notes consensuelles. bouclant la boucle par un retour vers l’enfance, « paradis perdu » de Renaud qui chante « J’ai eu dix ans, je n’les ai plus et je n’en reviens pas. » Aux côtés d’imageries de fêtes foraines, on le découvre tintinophile. Alors que sa musique résonne à nos oreilles : les carambars d’antan, les coco boers et les vrais roudoudous qui coupaient les lèvres et niquaient les dents. La nostalgique Mistral Gagnantélue « meilleure chanson française de tous les temps » et son émotion fédératrice, a de quoi mettre tout le monde d’accord et même le pouvoir de ramener les détracteurs à la bienveillance. 

Monique Younès d’RTL a visitée l’exposition en avant-première et a offert son compte-rendu dans l’émission « Laissez-vous tenter » du 13 octobre 2020 :

 

La veille de l’ouverture de la « Putain d’expo ! », la Philharmonie de Paris a partagé une vidéo illustrant le parcours et la scénographie de l’exposition, ainsi que des extraits d’interview avec David Séchan, Johanna Copans et Gérard Lo Monaco :

 

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« The Totale of La bande à Renaud » maintenant disponible !

Tel qu’annoncé le mois dernier, « La bande à Renaud » s’agrandit ! En effet, en 2014, la scène française rendait un hommage très remarqué à Renaud avec les deux premiers volumes de « La bande à Renaud ». Cinq nouveaux artistes viennent rejoindre la bande sur un album double édité pour l’occasion en livre-disque :

« The Totale of la bande à Renaud » comprend 34 chansons (incluant les cinq nouvelles), ainsi qu’un livret de 72 pages.

Voici deux courtes bandes-annonces de cet album double :

Les 34 chansons emblématiques sont produites et réalisées par Dominique Blanc-Francard et Alain Lanty, alors que le livret de 72 pages est illustré par le fidèle dessinateur et scénographe de Renaud, Gérard Lo Monaco.

Pour un bel avant-goût, voici la reprise par Gaëtan Roussel de la chanson « Viens chez moi, j’habite chez une copine » :

Vous pourrez vous procurer l’album « The Totale of La bande à Renaud » en cliquant ici !


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L’album « The Totale of La bande à Renaud » prévu ce 9 octobre !

Tel qu’annoncé le 9 septembre 2020 sur RFM :

« The Totale of la bande à Renaud » comprendra 34 chansons, 5 inédits, digibook 2CD et un livret de 72 pages :

La bande s’agrandit! En 2014, la scène française rendait un hommage très remarqué à Renaud avec les 2 premiers volumes de La bande à Renaud. En 2020, alors que la Cité de la Musique à Paris lui consacre une rétrospective événementielle pendant plus de 6 mois, Putain d’expo !, 5 nouveaux groupes et artistes viennent rejoindre le tribute : TryoVincent DelermGaëtan RousselGauvain Sers et Boulevard des Airs.

The totale of la bande à Renaud rassemble dans un digibook 2 CD en tirage limité, 34 chansons emblématiques, produites et réalisées par ses compagnons de toujours, Dominique Blanc-Francard et le compositeur Alain Lanty, tandis que le livret de 72 pages est illustré par le fidèle dessinateur et scénographe de Renaud, Gérard Lo Monaco.

En attendant le 9 octobre, voici le clip officiel de l’interprétation d’Emily Loizeau de la « story d’amour » de Renaud It is not because you are (sortie sur l’album « La bande à Renaud (Volume 2) » en 2014) :

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« Putain d’expo » : La Philharmonie de Paris rendra hommage à Renaud !

La Philharmonie de Paris a récemment annoncé la bonne nouvelle sur son site :

RENAUD, « PUTAIN D’EXPO ! »

Une silhouette aux jambes arquées, un foulard rouge, une blondeur timide que vient contredire la puissance des mots, portés par un timbre reconnaissable entre tous : celui qu’on a surnommé « la chetron sauvage » ou encore « le chanteur énervant », colporteur d’enfance et d’humanité grâce à la tendresse acidulée de son Mistral gagnant, reste aujourd’hui l’un des chanteurs français les plus populaires. Son œuvre, entrée au patrimoine de la chanson, s’ancre dans les remous de son siècle et détient aussi une force intemporelle.

UN GAVROCHE DES TEMPS MODERNES

L’exposition propose un parcours initiatique en forme de paysages, entre imaginaire musical et histoires vécues. Des archives inédites découvrent les racines poétiques et familiales de cet enfant de la porte d’Orléans, amoureux de Paname. Le visiteur foule les trottoirs où l’adolescent fit ses premiers pas de chanteur de rue puis le suit sur la scène des cafés-concerts. Héritier d’Aristide Bruant et de la chanson réaliste, adolescent émouvant de mai 1968, Renaud le baladin Gavroche s’invente et dépasse l’héritage pour devenir artiste et donner naissance au mythique Hexagone.

FICTIONS MUSICALES

Entrer dans l’univers de Renaud, c’est aussi partir à la découverte des fictions musicales qu’il a lui-même forgées. Dès le tournant des années 1970 et 1980 s’installent une langue, des lieux, des personnages que Renaud croque en quelques vers et qui prennent vie avec la même netteté que les héros de bandes dessinées savourées par l’artiste. L’exposition se propose ainsi de les rencontrer, avec l’ambition de revisiter l’univers des chansons dans le décor de leur fiction.

Selon le journal Le Figaro :

Après Étienne Daho, l’interprète de Mistral Gagnant est le deuxième chanteur français à faire l’objet d’une exposition dans l’écrin de la Philharmonie de Paris.

Du 16 octobre au 2 mai, la Cité de la Musique accueillera une exposition consacrée à Renaud, dans le prestigieux écrin de la Philharmonie de Paris. «Putain d’expo !», s’intitulera-t-elle, clin d’œil à la chanson Putain de camion écrite par Renaud après la mort de son ami Coluche.

Aux commandes de cette rétrospective, David Séchan, le frère de Renaud, et Johanna Copans, professeure agrégée de français et spécialiste de la langue si particulière, mélange d’argot et de verlan, de l’interprète de Mistral Gagnant. Gérard Lo Monaco, à l’origine de plusieurs de ses pochettes d’album, sera quant à lui en charge de la scénographie. Il s’agit de la première exposition consacrée à Renaud.

Le journal Le Parisien ajouta également :

Le chanteur reste énervant et populaire. Il est surtout l’auteur de quelques-uns des plus beaux textes de la chanson française. Cette rétrospective pleine d’archives inédites viendra d’ailleurs le rappeler, en s’attardant sur sa plume du gavroche de la Porte d’Orléans nourrie par le bitume et la nostalgie de l’enfance perdue.

Cette « Putain d’expo » fera aussi le tour de ses engagements associatifs et politiques, de l’antimilitarisme aux « chanteurs sans frontières », de ses amitiés, de Coluche à « Charlie Hebdo », de ses désillusions aussi, de ses influences enfin. 

Enfin, « Le journal de la culture » (une chronique de l’émission « Culture Médias » sur Europe 1) souligna le 20 juillet dernier cette exposition à venir :

 

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