Vidéo la plus regardée en février 2019

En réponse à la demande populaire, la revoici !

Eh ! déconne pas Renaud Pierre Manuel…

Le 15 février dernier, l’émission « La Vie Secrète des Chansons », animée par Wendy Bouchard et André Manoukian, avait comme thème « Un prénom masculin, une chanson »  :

Plusieurs prénoms masculins ont été mis à l’honneur dans de célèbres refrains. Certains d’entre eux ont connu la gloire simplement grâce au succès d’une chanson. Il n’y a qu’à citer Gigi pour savoir qu’on parle de Dalida et de son «amoroso». Plusieurs artistes se sont aussi servi d’un prénom comme d’un paravent pour eux-mêmes. C’est un peu le cas du Manu de Renaud. D’autres, comme Carla Bruni, ont tenu à chanter haut et fort le prénom de l’être aimé : un certain Raphaël. Zazie, avec son titre «Adam et Yves», a tenté de faire passer un message. Il arrive aussi que le prénom aide un artiste à panser ses plaies, comme le petit Simon chanté par Hugues Aufray.

Voici donc le passage de l’émission à propos de la fameuse chanson Manu de Renaud :

 

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Chanson pour Renaud

En juin 2014, le groupe Les P’tits Yeux rendait hommage à Renaud dans la chanson « Chanson pour Renaud », enregistrée sur leur album « Changer d’ère » :

Les voici interprétant cette belle chanson le 14 juin 2014 :

Chanson pour Renaud

J’cause au nom d’une génération
Façonnée dans une gueule de bois
Qui a trouvé sous ton blouson
L’espièglerie qu’elle n’avait pas
Derrière ton cuir, moi j’ai puisé
Dans ce cœur gros comme une bonbonne
Un concentré d’humanité
Que t’as fait rimer comme personne

Si j’me suis projeté dans le noir
Comme les rêveurs de mon espèce
C’est bien le bleu de ton regard
Qui a embelli ma jeunesse
J’ai croisé des Marchands d’Cailloux
Qui venaient prêcher la bonne parole
Mais ce sont les tiennes avant tout
Que je fredonnais à l’école

Ton foulard c’est mon étendard, ton humanisme ma dynamo
Si l’philanthrope avait un nom, peut-être s’appellerait-il Renaud !

T’en as bousculé des moutons
T’en as fait sortir du troupeau
Mais pour les rendre un peu moins cons
Fallait quand même se lever tôt
Les petites graines de liberté
Grandissent à l’ombre des poltrons
C’est dans mon cœur ensoleillé
Qu’elles ont donné des rejetons

Comme toi je pisserai sur les murs
De cet hexagone répulsif
Mais l’roi des cons a la dent dure
Et serre toujours fort son canif
Il met encore au pilori
Et l’étranger et l’inconnu
Les Charognards n’ont pas vieilli
Et la stupidité non plus

Ton foulard c’est mon étendard, ton humanisme ma dynamo
Si l’indigné avait un nom, peut-être s’appellerait-il Renaud !

Moi pour faire pleurer mes gonzesses
Je me suis vu chanter la tienne,
Manu, Pierrot et leur tendresse
M’ont dispensé de bien des peines
Je te dois quelques nuits d’amour
De quoi crier à l’imposture
Peut-être même à un détournement
De passion pure et dure

Si ton argot a su faire tic
Dans l’esprit de mes bohémiennes
C’est qu’tu l’as rendu poétique
Toi l’hypnotiseur de sirènes
Chanter les femmes par dévotion
C’est l’art du génie populaire
Toutes les frangines te le rendront
A part bien sûr Madame Thatcher !

Ton foulard c’est mon étendard, ton humanisme ma dynamo
Si l’romantique avait un nom, peut-être s’appellerait-il Renaud !

Réinventer des vies nouvelles
Pour nos enfants ou pour nos frères
Certains s’y sont brûlés les ailes
Toi tu t’es noyé dans ton verre
Les belles illusions abandonnent
Même les plus fines des grandes gueules
Dans le sillage d’une P’tite Conne
Tu as dû souvent te sentir seul

Mais si je t’ai donné quitus
Pour embrasser tous mes espoirs
C’est qu’tu représentais bien plus
Qu’un simple chanteur rouge et noir
Ton amour des arbres, des oiseaux
Face aux belliqueux demeurés
M’a élevé presque aussi haut
Que les fruits de ton Oranger

Ton foulard c’est mon étendard, ton humanisme ma dynamo
Si l’utopique avait un nom, peut-être s’appellerait-il Renaud !

Toi l’éternel Rouge-Gorge
Toi l’Amoureux De Paname
Toi qui n’as plus de sucre d’orge
Pour adoucir ton vague à l’âme
La nostalgie t’a fait marron
Au devant des Mistrals Gagnants
Mais nom de dieu que c’était bon
Avec toi d’remonter le temps

J’cause au nom d’une génération
Façonnée dans une gueule de bois
Qui a trouvé derrière ton nom
Toutes les vertus qu’elle n’avait pas
Moi j’me suis fait un peu fleur bleue
Loin des fétichistes abrutis
Pour te chanter Renaud mon vieux
Le juste sens du mot « Merci ! »

 

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Eh ! déconne pas Renaud Pierre Manuel…

Le 15 février dernier, l’émission « La Vie Secrète des Chansons », animée par Wendy Bouchard et André Manoukian, avait comme thème « Un prénom masculin, une chanson »  :

Plusieurs prénoms masculins ont été mis à l’honneur dans de célèbres refrains. Certains d’entre eux ont connu la gloire simplement grâce au succès d’une chanson. Il n’y a qu’à citer Gigi pour savoir qu’on parle de Dalida et de son «amoroso». Plusieurs artistes se sont aussi servi d’un prénom comme d’un paravent pour eux-mêmes. C’est un peu le cas du Manu de Renaud. D’autres, comme Carla Bruni, ont tenu à chanter haut et fort le prénom de l’être aimé : un certain Raphaël. Zazie, avec son titre «Adam et Yves», a tenté de faire passer un message. Il arrive aussi que le prénom aide un artiste à panser ses plaies, comme le petit Simon chanté par Hugues Aufray.

Voici le passage de l’émission à propos de la fameuse chanson Manu de Renaud :

Renaud raconte dans son autobiographie « Comme un enfant perdu », sortie en mai 2016 :

Dominique entre donc dans ma vie avant la sortie de mon second album – qui lui est dédié, et bien avant que je connaisse le succès. Elle y entre sur la pointe des pieds, toujours attachée à Gérard Lanvin et donc le cœur déchiré. Pendant toute une période, elle dort avec moi une nuit ou deux, puis retourne dormir avec Gérard, avant de revenir vers moi.

C’est un cauchemar, je l’aime plus que tout, et je ne supporte pas l’idée qu’elle soit dans les bras d’un autre, fût-il son mari. Je suis malade de jalousie et les soirs où elle n’est pas là je me réfugie dans le bistrot de Mme David, Au Rendez-vous des amis, à côté de La Veuve Pichard, le café-théâtre des Lanvin. Je me confie à Mme David qui nous connaît tous, qui voit Dominique et Gérard tous les jours et qui peut donc mesurer dans quel dilemme, dans quelle souffrance je me débats. Je lui répète que je suis fou de Dominique, que je préfère mourir que de la perdre, et elle a l’infinie bonté de m’écouter jusqu’à pas d’heure, de me nourrir, de m’abreuver.

C’est en repensant à ces soirées sans fin, où je m’abrutissais à la bière, que j’écrirai quelques années plus tard Manu, cette chanson qui porte mon troisième prénom – Renaud Pierre Manuel :

Eh ! Manu rentre chez toi
Y a des larmes plein ta bière
Le bistrot va fermer
Pis tu gonfles la taulière
J’croyais qu’un mec en cuir
Ça pouvait pas chialer
J’pensais même que souffrir
Ça pouvait pas t’arriver
J’oubliais qu’tes tatouages
Et ta lame de couteau
C’est surtout un blindage
Pour ton cœur d’artichaut

Eh ! déconne pas Manu
Va pas t’tailler les veines
Une gonzesse de perdue
C’est dix copains qui r’viennent.

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P’tite conne

Selon Wikipedia.fr, la chanson P’tite conne de Renaud est dédiée à Pascale Ogier, morte d’une crise cardiaque à 25 ans, l’année précédant la sortie de l’album « Mistral gagnant » :

Le 25 octobre 1984, deux mois et demi après la sortie des Nuits de la pleine lune, elle est prise d’une crise d’angor, comme cela lui est déjà arrivé, au sortir d’une soirée au Palace chez un ancien partenaire d’excès adolescents. Elle meurt sur place des conséquences d’une ischémie myocardique dégénérée en hypoxie générale, à la veille de son vingt-sixième anniversaire. Le soir même a lieu l’avant-première de son dernier long métrage, Ave Maria, dont elle ne connaîtra pas le destin scandaleux. Ce n’est que des années plus tard que les médias français évoqueront une mort résultant d’une overdose qui a décompensé sa cardiopathie.

Selon un article paru en 1986 dans la revue OK !, Renaud aurait déclaré 

Pour « p’tite conne », on m’a dit « méfie-toi, c’est un remake ! ». C’est un cheval de bataille que j’enfourche souvent contre la dope. Deux chansons en dix ans, ce n’est pas trop. Il y a des mecs de mon âge qui crèvent de la drogue, d’autres qui s’enrichissent sur leur mort. C’est lamentable de voir une gonzesse de vingt-cinq berges, belle, comédienne à succès, mourir ainsi ; elle avait tout pour elle. C’est délicat car la raison de la mort de Pascale Ogier n’est pas claire, on n’est pas certain que ce soit une overdose mais c’est lié à cela. Un mec est venu me voir en me parlant d’elle, je savais qu’elle aimait mes chansons, ça m’a touché, mais je ne la connaissais pas. Je souhaite que cette chanson fasse prendre conscience à certains qu’il faut arrêter la dope.

L’autre chanson « contre la dope » était évidemment La blanche, parue sur l’album « Le retour de Gérard Lambert » en 1981. Voici donc la chanson P’tite conne dédiée à Pascale Ogier :

Et voici un extrait de l’émission spéciale « Joyeux anniversaire Renaud » diffusée sur France 2 le 10 mai 2022, au cours duquel un hommage est rendu à la chanson P’tite conne, interprétée par Zaz :

Pour en découvrir davantage, c’est par ici !

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Y’a beaucoup de monde dans la rue Pierre Charon…

Dans sa chanson « Les charognards », Renaud se souvient d’un événement très particulier :

Il y’a beaucoup de monde dans la rue Pierre Charon 
il est 10 heures du mat’ le braquage a foiré 
J’ai une balle dans le ventre une autre dans le poumon 
J’ai vécu à Sarcelles j’crève aux Champs-Élysées

Je vois la France entière du fond de mes ténèbres 
Les charognards sont là, la mort ne vient pas seule 
J’ai la connerie humaine comme oraison funèbre 
Le regard des curieux comme unique linceul

C’est bien fait pour ta gueule 
Tu n’es qu’un p’tit salaud 
On n’portera pas le deuil 
C’est bien fait pour ta peau

Il est à noter que la chanson enregistrée sur l’album Laisse béton (aussi appelé parfois Place de ma mob) était amputée de deux couplets qu’on peut entendre sur la version en spectacle à Woluwe-Saint-Pierre (Belgique) :

Le coup du train postal, c’était du beau boulot
affirme un photographe, dévoreur de cadavres
les rois d’la cambriole, je leur tire mon chapeau
de mon temps les truands, ne prenaient pas d’otages

Et la putain morose, qui tapinait par là
au milieu de la foule, promène sa silhouette
disant que piller les banques, c’est ignorer la loi
on peut gagner sa vie, de façon plus honnête

Renaud raconte dans son autobiographie « Comme un enfant perdu », sortie en mai 2016 :

L’autre chanson forte de l’album (N.D.L.R. : avec Laisse béton) m’est inspirée par un braquage de banque qui a mal tourné. Je suis dans une bagnole empruntée à un copain, sur les Champs-Élysées, quand j’entends que les mecs viennent de se faire coincer par les flics rue Pierre-Charron, à deux pas de l’endroit où je me trouve. L’un aurait été descendu, l’autre serait blessé. Je fais demi-tour et j’y vais.

Sur place, je vois le type mort allongé sur le bitume, et l’autre qui pisse le sang dans le caniveau, mais qui respire encore. Ce qui me retient sur place, à ce moment-là, ce sont les commentaires des badauds, hallucinants de haine : « Encore des Arabes ! Ils ont leur compte et ils l’ont bien cherché ! Salauds ! Fumiers ! Des ordures pareilles, ça ne devrait pas avoir le droit de naître », etc., etc. Je me rappelle m’être dit que si les braqueurs n’avaient pas été dans cet état, cette foule les aurait lynchés.

En rentrant chez moi, ce soir-là, j’écris d’une traite Les Charognards.

Le 25 septembre 2016, Félicien Fogaerts, dans l’émission « Classic 21 – Protest Song » sur RTBF, décryptait le texte et les différents niveaux de lecture de la chanson « Les charognards » de Renaud :

Pour en connaître davantage sur cet événement, c’est par ici !

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Vidéo la plus regardée en janvier 2019

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Renaud à la cérémonie des Grands Prix 2018 de la Sacem

Une rare sortie publique de Renaud le lundi 10 décembre. En effet, il était le Lauréat du Grand prix spécial 2018 de la Sacem (Société des auteurs, compositeurs et éditeurs de musique).

Renaud n’est resté que quelques minutes sur la scène de la salle Pleyel. Il n’a pas chanté, mentionnant avec humour que « pour remercier la Sacem de tant d’attention à mon égard, depuis de si longues années, 43 ans bientôt, j’ai décidé de ne pas chanter ce soir ». Tout de même, Vincent Dedienne, la « maîtresse » de la soirée, et Alex Beaupin ont interprété une des très belles chansons de Renaud, « Les mots » :

 

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Reposez en paix, Madame Séchan

Tel que rapporté par le journal L’Est Républicain :

A peine dix jours après les obsèques de son frère, Thierry Séchan, le chanteur vient de perdre sa maman, âgée de 96 ans. 

Sa mère Solange est décédée le 25 janvier à l’âge de 96 ans, à Paris, comme le révèle le carnet du Monde daté du samedi 2 février.

A la fin de l’avis de décès, on peut lire une phrase de l’écrivain et poète Albert Cohen : « Pleurer sa mère, c’est pleurer son enfance. J’ai été un enfant, je ne le suis plus et je n’en reviens pas ».

Ses obsèques se dérouleront dans l’intimité familiale. Une nouvelle épreuve terrible pour le chanteur et son jumeau David, leurs trois sœurs, Christine, Nelly et Sophie, ainsi que les petits-enfants et arrière-petits-enfants de la disparue.

Très discrète malgré le succès de Renaud, Solange Séchan a accordé très peu d’interviews pour parler de son fils. Voici un extrait de l’une de ces rares interviews avec Renaud et sa mère Solange :

Source : « Docteur Renaud, Mister Renard » (Radios Francophones Publiques (RFP)) (été 2004)

Et voici une très belle chanson de Renaud se rappelant son enfance avec nostalgie, incluant évidemment quelques bons mots pour sa maman :

Nos sincères condoléances à toute sa famille.

Récents ajouts au site (1985) (fin)

Les dessins et capsules humoristiquesfilms, hommages, livres, spectacles et vidéos sur Renaud datant de 1985 sont maintenant disponibles !

 

Il y a énormément de matériel, vous ne vous ennuierez pas. Entre autres, vous retrouverez 12 vidéos pouvant être visionnées directement. Si vous avez davantage de vidéos de Renaud datant de 1985, n’hésitez pas à me contacter. Il me fera plaisir de les ajouter au site !

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Rembob’INA revient sur l’émission « Droit de réponse » du 2 janvier 1982

Le 20 janvier dernier, Patrick Cohen, à la barre de l’émission « Rembob’INA » sur LCP, faisait un retour sur une émission « Droit de réponse » du 2 janvier 1982, dans laquelle avait participé Renaud.

Quatre ans après l’attentat contre « Charlie Hebdo », Rembob’Ina propose de redécouvrir l’émission « Droit de réponse » du 2 janvier 1982. Présentée par Michel Polac, cette émission avait été presqu’entièrement consacrée à la disparition de l’hebdomadaire satirique, à l’époque en faillite. Voici une courte vidéo annonçant l’émission à venir :

Et voici une partie de la description de INA.fr sur l’émission « Droit de réponse » :

Michel Polac consacre cette émission à la disparition de l’hebdomadaire d’information satirique, « Charlie Hebdo ». La fin de l’émission est consacrée à la création cinématographique française.

Débattent autour de la disparition de « Charlie Hebdo », les principaux journalistes et dessinateurs de ce journal, des critiques, un journaliste du journal « Minute » et des lycéens, présents parmi le public. Ils abordent les questions de la légitimité de « Charlie Hebdo », du pluralisme et de la liberté d’expression. Ce débat donne lieu à de nombreux incidents. Le débat est précédé d’une interprétation de Renaud, qui chante « J’ai raté téléfoot ».

Michel Polac présente l’émission de « Droit de réponse » en entier, en plus d’en discuter avec Catherine Sinet (veuve de Maurice Sinet), Jean-François Kahn et Agnès Chauveau. Nous ignorons pendant combien de temps la rediffusion sera disponible, alors profitez-en dès que possible ! 

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Le nouveau livre de Jean-Marc Héran et Michel Kemper est maintenant disponible !

Tel qu’annoncé en juillet dernier, le nouveau livre sur Renaud, dans la collection Plume & Pinceau, est maintenant disponible :

Selon la description sur Amazon,

Pour cette nouvelle édition, c’est Michel Kemper qui prend la plume, rebattant les cartes et choisissant une nouvelle manière d’envisager Renaud en situant notre chanteur énervant… dans l’univers chanson. Au cœur d’une oeuvre passionnante – la sienne – certes, mais aussi parmi les siens : de Bruant à Brassens, de François Béranger à Gauvain Sers ; de toute une chanson dont Renaud est tant l’héritier que le passeur. Fouiller les chansons de Renaud c’est dévoiler un pan entier de l’Histoire de la chanson, de son passé comme de son présent. C’est aussi, nous le savons, explorer les cimes et les failles d’un personnage sensible, entre tous attachant. Un des grands de la chanson, de ceux dont le nom et l’oeuvre sont déjà gravés en pleins et en déliés, au burin, sur nos palpitants, pour longtemps, à jamais. L’un à la plume l’autre au pinceau, Michel Kemper et Héran ouvrent 43 portes, en autant de chansons, pour mieux entrer dans le monde de Renaud, pour encore apprendre de lui, prolonger ses vers et ses musiques, faire nôtres ses rimes, ses colères, sa tendresse autant que ses pirouettes.

Le journal Le Progrès publiait récemment un article sur ce livre. En voici quelques extraits :

Dans la collection chanson à la plume et au Pinceau, Michel Kemper, critique de la chanson et Jean-Marc Héran, célèbre auteur de BD ont repris leur heureuse collaboration pour revisiter 43 chansons du répertoire de Renaud. Avec toujours autant d’humour, de malice et de tendresse…

Les fans de Renaud – et ils sont très nombreux – vont être ravis. À quelques jours de Noël, ils vont pouvoir s’offrir ou se faire offrir le dernier ouvrage de leur idole.

Qu’ils se rassurent ce livre n’est pas un énième complication de la vie et de l’œuvre musicale de l’artiste au bandana rouge dont les textes engagée et poétiques sont entrés au panthéon de la chanson française.

Ce nouvel opus, unique sur le fond et sur la forme est signé à quatre mains, par Michel Kemper à la plume et Marc Héran au pinceau. Artistiquement, ces deux-là s’entendent comme larrons en foire. Pour cette nouvelle création, ils ont récidivé leur heureuse et bienfaitrice collaboration en s’attaquent avec toujours autant d’humour, de malice et de tendresse au répertoire renaudien.

« L’œuvre de Renaud respire la cohérence, sans être dans la redite »

Dans ce bel ouvrage, préfacé par Gauvain Sers, les fans vont (re) découvrir des pans de l’existence de l’auteur « laisse béton ».

Enfin, le magazine NosEnchanteurs n’avaient que de bons mots sur ce livre dans un article paru le 4 janvier 2019 :

Le livre parcourt intelligemment toute la carrière de Renaud, dans l’ordre chronologique, débutant sur son péché de jeunesse Crève salope pour s’achever par Toujours debout. Entre ces deux extrêmes, aucun album-studio n’aura été oublié, même les moins populaires Renaud cante el Nord et Molly Malone ayant droit à leur illustration. L’occasion pour Michel Kemper de pointer les thèmes qui traversent toute l’œuvre du chanteur (l’enfance, ses relations avec sa fille, le pouvoir et l’anarchie…), sans occulter ses revirements ou contradictions.

Au terme de son voyage, au-delà ce qu’il aura pu apprendre ou découvrir, tout lecteur normalement constitué sera saisi de l’irrésistible envie de se replonger dans la discographie de Renaud. Rien que pour ça, l’acquisition de ce livre se justifie. Exigez-le de votre libraire ou commandez-le directement aux auteurs. Vous verrez, c’est vous qui les remercierez.

Bonne lecture !