Possible percée de Renaud aux États-Unis avec « Laisse béton » !

En effet, le groupe Pomplamoose vient de mettre en ligne sa version « Western spaghetti » du premier grand succès de Renaud, « Laisse béton » !

Pomplamoose est un groupe de musique indépendante américain, originaire de Corte Madera en Californie. Il est composé des multi-instrumentistes Jack Conte et Nataly Dawn. Le nom du groupe vient du mot français pamplemousse, « Pomplamoose » étant une approximation orthographique anglaise de la prononciation française de ce fruit. Jack Conte est également co-fondateur du site Web de financement participatif Patreon.

Voici comment le groupe a présenté sa reprise de cette célèbre chanson de Renaud, avec humour bien sûr !

Here’s our Spaghetti Western rendition of « Laisse béton » by Renaud… just in case Tarantino needs something for any upcoming films.

Qui pourrait se traduire ainsi :

Voici notre reprise version « Western spaghetti » de la chanson « Laisse béton » de Renaud… Juste au cas où Quentin Tarantino en aurait besoin pour ses prochains films.

Le groupe a même eu la gentillesse d’inclure les paroles de la chanson dans la vidéo !

En souvenir, voici Renaud interprétant « Laisse béton » dans l’émission « Les Rendez-vous du dimanche », avec Michel Drucker, diffusée sur TF1 le 7 mai 1978. On peut apercevoir Salvatore Adamo en introduction de la vidéo :

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Le saviez-vous ? Les Coco Boers sont à nouveau disponibles !

Qui peut oublier les « bonbecs » de Renaud rendus célèbres par sa chanson Mistral gagnant :

Les bonbecs fabuleux qu’on piquait chez l’marchand 
Car-en-sac et Mintocaramels à un franc
Et les Mistral gagnants

Te raconter surtout les carambars d’antan et les Coco Boers 
Et les vrais roudoudous qui nous coupaient les lèvres et nous niquaient les dents
Et les Mistral gagnants

Le voici interprétant cette tendre chanson au Zénith Paris – La Villette lors d’un concert en mars 1986 :


 

Avec les Minto et Mistral gagnants, les Coco Boers n’étaient plus commercialisés depuis plusieurs années. Par contre, grâce à Génération Souvenirs ! (un site de vente en ligne consacré aux années 70, 80 et 90), vous pouvez désormais déguster à nouveau les fameux Coco Boers que Renaud appréciait tant dans son enfance ! Tel que mentionné sur le site de Génération Souvenirs ! :

L’authentique Coco Boer de notre enfance est de retour ! 

Retrouvez la célèbre boisson en poudre qui désaltère au goût inimitable de réglisse.

Génération Souvenirs ressort des placards un des bonbons anciens les plus connus, avec le Roudoudou, en proposant à la vente le célèbre Coco Boer, cette friandise à la réglisse contenue dans une petite boîte ronde en métal.

Rappelez-vous, déjà, le chanteur Renaud  dans sa chanson Mistral Gagnant, regrettait la disparition des Coco Boers de son enfance : « Te raconter surtout les carambars d’antan et les coco-boers »

Le mode d’emploi pour déguster le vrai Coco Boer est simple : vous pouvez soit lécher votre doigt puis tapoter la poudre pour la déguster, vous pouvez également y allez directement en trempant votre langue dans la boîte mais la version la plus classique est d’en verser une pincée dans un verre d’eau.

Chacun fait comme il veut, l’essentiel c’est de se régaler en retrouvant les saveurs d’antan !

Pour la petite histoire, sachez qu’elle a été inventée en 1902 par Jules Courtier, pharmacien à Le Pouzin en Ardèche. Il a choisi ce nom en référence à la « guerre des Boers » qui alimentait les conversations de l’époque. Elle est fabriquée avec de la poudre de réglisse sauvage italienne et des extraits de réglisse. 

Bonne dégustation !

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Il y a 30 ans, Renaud participait à la fête des 70 ans du P.C.F.

Le seul spectacle que Renaud ait offert en 1990 consistait en sa participation au concert au Palais Omnisports de Bercy (Paris) le 22 décembre pour la fête des 70 ans du Parti communiste français (P.C.F.).

Renaud apparaît à deux occasions dans un documentaire réalisé par Dominique Trichet : « 70ème anniversaire du P.C.F. (spectacle à Bercy) : Révolutionnaire, 1920-1990 » (que vous pourrez visionner en entier en cliquant ici), alors qu’il y interprète trois chansons : Oscar, Déserteur et Trivial Poursuite :

Plusieurs autres artistes ont partagé la scène avec Renaud pour cette fête du 70ème anniversaire du P.C.F., dont Léo Ferré. Voici un texte que Renaud écrivit en mémoire de celui-ci (décédé le 14 juillet 1993) dans lequel il se remémore ce concert où ils avaient tous deux partagé l’affiche :

Pour mémoire, voici Léo Ferré interprétant ce soir-là « L’Affiche rouge » de Louis Aragon :

Quels beaux souvenirs !

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Vidéo la plus regardée en novembre 2020

Un retour aux débuts de Renaud en tant qu’artiste, bien avant la chanson !

« C’est moche c’est sale, c’est dans le vent, c’est le Café de la Gare »

Le 31 octobre 2020, France 5 diffusa un documentaire de Guillaume Meurice et Emilie Valentin retraçant les origines du Café de la Gare, intitulé « C’est moche c’est sale, c’est dans le vent, c’est le Café de la Gare ». En voici la bande annonce, dans laquelle Renaud apparaît brièvement :

Voici un extrait du documentaire au cours duquel Henri Guybet et Sotha discutent du passage de Renaud au Café de la Gare :

Renaud se rappela cette période dans son autobiographie (Comme un enfant perdu – Autobiographiemai 2016) :

À l’été 1971, je me pointe à Belle-Île-en-Mer pour y passer les vacances. Nous avons loué une maison pour une quinzaine de jours et j’ai pris soin d’emporter ma guitare. Nous n’avons aucun programme, si ce n’est l’envie de passer quelques nuits sur la plage à la belle étoile, et je ne me doute pas une seconde que ce séjour à Belle-Île va m’ouvrir les portes d’un monde dont je rêvais confusément sans rien en connaître et où je vais enfin trouver l’espace pour m’exprimer.

Un matin, en me promenant sur le port, j’avise un beatnik dont la dégaine est à peu près la même que la mienne. Le gars m’offre une cigarette et on commence à discuter de choses et d’autres sous le doux soleil d’août, puis très vite de politique, et bien sûr d’amour.

Il s’appelle Patrick Dewaere, et il nous présente ce soir-là sa fiancée, Catherine Sigaux, dite Sotha, et son frère, Dominique. On mange, on boit, on fume, et finalement je vais chercher ma guitare et on se met à chanter. J’entonne Crève, salope ! qu’ils ne connaissaient pas et ils sont morts de rire. Du coup, j’enchaîne avec La Révolution, d’Évariste, Philistins du grand Brassens, d’autres encore, et on se quitte vers 5 heures du mat’.

« Quand tu rentres à Paris, passe nous voir, me dit Patrick Dewaere en partant. On joue dans un café-théâtre, le Café de la gare, à Montparnasse.
— C’est quoi un café-théâtre ?
— Un bistrot où tu peux boire un coup tout en assistant à un spectacle.
— Ah bon ! Alors, vous êtes comédiens ?
— Un peu, oui. On écrit des trucs et on les joue. Sotha écrit pas mal. Mais on est plusieurs, hein. Enfin, tu verras.
— D’accord, je passerai peut-être.
— T’es pas forcé, mais si ça te dit, t’es le bienvenu. »

De retour à Paris, un soir où je n’ai rien de mieux à faire, j’ai soudain l’idée d’aller les voir. Je retrouve Dewaere et Sotha, qui me présentent vaguement les autres membres de la troupe, un certain Coluche, une fille qui se fait appeler Miou-Miou, Romain Bouteille et, surgissant de je ne sais où… Jean-Michel Haas ! Mon camarade Jean-Michel, du CRAC, le Comité révolutionnaire d’action culturelle de la Sorbonne, sans lequel je n’aurais pas connu Évariste ni créé mon indigne chansonnette Crève, salope ! Nous nous serrons chaleureusement la main, et du coup je passe avec eux le reste de la nuit.

C’est ce soir-là, ou le lendemain, qu’ils me proposent, comme si ça allait de soi, de remplacer un certain Gégé qui me ressemble étonnamment : visage famélique, cheveux longs, pas plus épais qu’un sandwich SNCF.

« Gégé veut partir pour l’Amérique, il en a plein le dos de la France, m’expliquent-ils, toi, tu nous as bien plu avec tes chansons, alors si tu veux, on t’engage à sa place. »

Comédien, c’est ma vocation première, du moins c’est ce qu’il me semble, aussi j’hésite, mais je ne dis pas non.

« Je ne suis pas certain de savoir jouer.
— Je t’ai vu chanter devant deux cents personnes, c’est pas plus difficile, prétend l’homme du CRAC.
— T’es fait pour ça, dit Dewaere, ça se voit tout de suite. Reviens voir le spectacle pour t’en imprégner et quand Gégé s’en va, tu le remplaces.
— OK, je veux bien essayer. »

Le Café de la Gare fut créé juste après les événements de mai 68 par un groupe d’amis qui ont restauré une vieille fabrique de ventilateurs passage d’Odessa (dit aussi « passage du Départ »), proche de la gare de Paris-Montparnasse à Paris dans le 14e arrondissement. Chantier collectif où tout le monde met la main à la pâte, le Café de la Gare ouvre le 12 juin 1969 avec ses premiers acteurs-constructeurs-fondateurs : Romain BouteilleColucheSothaPatrick DewaereMiou-Miou et Henri Guybet.

En 1971, le café de la Gare déménage au 41 rue du Temple dans le 4e arrondissement, dans un relais de postes du XVIIe siècle anciennement appelé l’« Auberge de l’Aigle d’Or ». Il devient alors le plus grand café-théâtre de la capitale avec une salle de 450 places :

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« C’est moche c’est sale, c’est dans le vent, c’est le Café de la Gare »

Le 31 octobre 2020, France 5 diffusa un documentaire de Guillaume Meurice et Emilie Valentin retraçant les origines du Café de la Gare, intitulé « C’est moche c’est sale, c’est dans le vent, c’est le Café de la Gare ». En voici la bande annonce, dans laquelle Renaud apparaît brièvement :

Vous pourrez visionner ce documentaire jusqu’au 7 novembre 2020 en cliquant ici ! En voici un extrait au cours duquel Henri Guybet et Sotha discutent du passage de Renaud au Café de la Gare :

Renaud se rappela cette période dans son autobiographie (Comme un enfant perdu – Autobiographiemai 2016) :

À l’été 1971, je me pointe à Belle-Île-en-Mer pour y passer les vacances. Nous avons loué une maison pour une quinzaine de jours et j’ai pris soin d’emporter ma guitare. Nous n’avons aucun programme, si ce n’est l’envie de passer quelques nuits sur la plage à la belle étoile, et je ne me doute pas une seconde que ce séjour à Belle-Île va m’ouvrir les portes d’un monde dont je rêvais confusément sans rien en connaître et où je vais enfin trouver l’espace pour m’exprimer.

Un matin, en me promenant sur le port, j’avise un beatnik dont la dégaine est à peu près la même que la mienne. Le gars m’offre une cigarette et on commence à discuter de choses et d’autres sous le doux soleil d’août, puis très vite de politique, et bien sûr d’amour.

Il s’appelle Patrick Dewaere, et il nous présente ce soir-là sa fiancée, Catherine Sigaux, dite Sotha, et son frère, Dominique. On mange, on boit, on fume, et finalement je vais chercher ma guitare et on se met à chanter. J’entonne Crève, salope ! qu’ils ne connaissaient pas et ils sont morts de rire. Du coup, j’enchaîne avec La Révolution, d’Évariste, Philistins du grand Brassens, d’autres encore, et on se quitte vers 5 heures du mat’.

« Quand tu rentres à Paris, passe nous voir, me dit Patrick Dewaere en partant. On joue dans un café-théâtre, le Café de la gare, à Montparnasse.
— C’est quoi un café-théâtre ?
— Un bistrot où tu peux boire un coup tout en assistant à un spectacle.
— Ah bon ! Alors, vous êtes comédiens ?
— Un peu, oui. On écrit des trucs et on les joue. Sotha écrit pas mal. Mais on est plusieurs, hein. Enfin, tu verras.
— D’accord, je passerai peut-être.
— T’es pas forcé, mais si ça te dit, t’es le bienvenu. »

De retour à Paris, un soir où je n’ai rien de mieux à faire, j’ai soudain l’idée d’aller les voir. Je retrouve Dewaere et Sotha, qui me présentent vaguement les autres membres de la troupe, un certain Coluche, une fille qui se fait appeler Miou-Miou, Romain Bouteille et, surgissant de je ne sais où… Jean-Michel Haas ! Mon camarade Jean-Michel, du CRAC, le Comité révolutionnaire d’action culturelle de la Sorbonne, sans lequel je n’aurais pas connu Évariste ni créé mon indigne chansonnette Crève, salope ! Nous nous serrons chaleureusement la main, et du coup je passe avec eux le reste de la nuit.

C’est ce soir-là, ou le lendemain, qu’ils me proposent, comme si ça allait de soi, de remplacer un certain Gégé qui me ressemble étonnamment : visage famélique, cheveux longs, pas plus épais qu’un sandwich SNCF.

« Gégé veut partir pour l’Amérique, il en a plein le dos de la France, m’expliquent-ils, toi, tu nous as bien plu avec tes chansons, alors si tu veux, on t’engage à sa place. »

Comédien, c’est ma vocation première, du moins c’est ce qu’il me semble, aussi j’hésite, mais je ne dis pas non.

« Je ne suis pas certain de savoir jouer.
— Je t’ai vu chanter devant deux cents personnes, c’est pas plus difficile, prétend l’homme du CRAC.
— T’es fait pour ça, dit Dewaere, ça se voit tout de suite. Reviens voir le spectacle pour t’en imprégner et quand Gégé s’en va, tu le remplaces.
— OK, je veux bien essayer. »

Le Café de la Gare fut créé juste après les événements de mai 68 par un groupe d’amis qui ont restauré une vieille fabrique de ventilateurs passage d’Odessa (dit aussi « passage du Départ »), proche de la gare de Paris-Montparnasse à Paris dans le 14e arrondissement. Chantier collectif où tout le monde met la main à la pâte, le Café de la Gare ouvre le 12 juin 1969 avec ses premiers acteurs-constructeurs-fondateurs : Romain BouteilleColucheSothaPatrick DewaereMiou-Miou et Henri Guybet.

En 1971, le café de la Gare déménage au 41 rue du Temple dans le 4e arrondissement, dans un relais de postes du XVIIe siècle anciennement appelé l’« Auberge de l’Aigle d’Or ». Il devient alors le plus grand café-théâtre de la capitale avec une salle de 450 places :

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Interprétation émouvante de « Petite » par Vincent Delerm

Cinq nouveaux artistes sont récemment venus rejoindre « La bande à Renaud » sur un album double édité pour l’occasion en livre-disque (livret de 72 pages) :

Voici l’émouvante interprétation par Vincent Delerm de la chanson « Petite », originalement parue sur l’album Putain de camion en 1988 :

Vincent Delerm a eu la bonne idée d’inclure dans son interprétation l’introduction de Renaud pour cette chanson lors de la tournée Visage pâle rencontrer public (1988-1989) :

Vous pourrez vous procurer l’album « The Totale of La bande à Renaud » en cliquant ici !

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Vidéo la plus regardée en septembre 2020

Une magnifique interprétation de « La Médaille » par Manon Denimal Cubero. En réponse à la demande populaire, la revoici !

« La Médaille » interprétée dans le spectacle « 90 minutes avec Jean-Marie Bigard »

Lors d’une interview avec Zelda Chauvet en septembre 2018, Jean-Marie Bigard avait remercié Renaud pour sa chanson « La médaille », d’avoir « pensé à envoyer ce message au reste de l’humanité » :

Monsieur Bigard aime beaucoup cette chanson de Renaud. La preuve, elle avait sa place durant son spectacle « 90 minutes avec Jean-Marie Bigard » à l’opéra de Clermont-Ferrand le 16 décembre 2019. Plusieurs bobos ont dû assister à ce spectacle, car selon Renaud « Ils aiment Jean-Marie Bigard, même s’ils ont honte de l’avouer » ! Voici le teaser enregistré lors de cette soirée :

Et voici la magnifique interprétation de « La Médaille » par Manon Denimal Cubero :


 

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« La Médaille » interprétée dans le spectacle « 90 minutes avec Jean-Marie Bigard »

Lors d’une interview avec Zelda Chauvet en septembre 2018, Jean-Marie Bigard avait remercié Renaud pour sa chanson « La médaille », d’avoir « pensé à envoyer ce message au reste de l’humanité » :

Monsieur Bigard aime beaucoup cette chanson de Renaud. La preuve, elle avait sa place durant son spectacle « 90 minutes avec Jean-Marie Bigard » à l’opéra de Clermont-Ferrand le 16 décembre 2019. Plusieurs bobos ont dû assister à ce spectacle, car selon Renaud « Ils aiment Jean-Marie Bigard, même s’ils ont honte de l’avouer » ! Voici le teaser enregistré lors de cette soirée :

Et voici la magnifique interprétation de « La Médaille » par Manon Denimal Cubero :


 

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Concert de Renaud à Strasbourg en soutien à François Mitterrand

Tel que mentionné dans l’extrait suivant du Journal de 20 heures diffusé sur Antenne 2 le 2 mai 1988, plusieurs artistes ont soutenu François Mitterrand lors du deuxième tour des présidentielles, dont bien sûr Renaud :

C’est, c’est un grand homme pour moi, c’est un sage, c’est, c’est un vrai humain, quoi ! C’est un type que j’aime profondément. C’est important que la jeunesse retrouve ce qu’elle a perdu, à savoir sa capacité d’indignation, c’est, c’est tout. Voilà enfin, c’est, ça me paraît assez clair, l’indignation par rapport aux grandes injustices qui se passent en France, qui se passent dans le monde, par rapport à la misère des gens, aux souffrances des gens.

Source : INA.fr

Dans l’émission « La vie secrète des chansons » diffusée sur France 3 le 10 mai 2019, André Manoukian abordait plusieurs sujets intéressants, dont l’admiration de Renaud pour François Mitterrand :

Pour ce concert de soutien, Renaud interpréta les chansons suivantes :

Voici donc ce concert de Renaud du 2 mai 1988 en soutien à François Mitterrand !

  

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Chantons ensemble les Francofolies de La Rochelle

La crise sanitaire a contraint les organisateurs des Francofolies à annuler l’édition 2020 du festival de La Rochelle qui était prévu se tenir du 10 au 14 juillet. Les organisateurs prévoient que les artistes qui devaient s’y produire seront dans leur grande majorité présents en 2021.

En contrepartie, France 2 propose une émission spéciale, « Chantons ensemble les Francos » ayant comme objectif de permettre aux téléspectateurs « de vivre l’ambiance du festival de chez soi, en toute sécurité, mais avec au cœur l’envie de se rassembler autour des artistes qui font vivre la scène musicale francophone ». L’émission offre un retour sur les grands moments des éditions précédentes du festival, avec notamment Johnny Hallyday, Soprano, Renaud, Stromae, Véronique Sanson ou encore BigFlo et Oli :

L’émission est d’une durée de plus de deux heures ! En voici un extrait avec Renaud interprétant sa tendre chanson Mistral gagnant lors de sa participation au festival le 12 juillet 1995 :

L’émission sera disponible pour visionnement jusqu’au 11 janvier 2021. Profitez-en !

 

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